Nom : Streych
Prénom : Loane
Mes qualitées : intelligente, positive, drôle, sportive, curieuse, attentive
Mes défauts : maladroite, gaffeuse, susceptible, sensible.
Mon animal préféré : le furet
Mon sortilège préféré : accio
Mon caractère : Loane est une fille joyeuse, qui n'abandonne jamais et ne se laisse jamais abattre, elle a tout de même un fort caractère et ne se laisse pas marcher sur les pieds. Elle est sensible et elle peut fondre en larmes pour un rien. Elle également susceptbile et très têtue. Elle adore faire des blagues, qui sont le plus souvent sympathiques, mais elle ferait n'importe quoi pour ses amis, y comprit pour les venger. Elle est plutôt intelligente, et aime apprendre, quoique maladroite et un peu stupide parfois, en faite, elle est lunatique.
Mon histoire : Nous sommes le 7 Mai, un homme tourne en rond depuis plus d’une heure, des infirmières courent dans le couloir, comme dans tout hôpital et, soudain, un cri retentit, puis la sage-femme s’exclame :
« C’est une fille, madame ! » apparait alors une enfant, qui se distinguait apparemment par le grand sourire qui ornait son visage, et ces curieux yeux mauves bleutés. Oui, car nous étions dans un hôpital moldu et, la jeune maman, ignorant l’existence de la magie, mais ignorant également toutes les particularités de celle-ci, était bien étonnée de voir cette petite fille, tout contente, l’observant se ses grands yeux mauves. Mais, elle n’était pas au bout de ses surprises, en effet, lorsque la petite, baptisée Loane eut sur le crâne quelques cheveux, ceux-ci se révélèrent d’une couleur assez particulière : rouges, ou virant sur le rose. Passons maintenant au papa ; bien que son épouse l’ignore encore, celui-ci était un sorcier, et se tracassait autant pour l’accouchement que pour sa tendre si jamais leur enfant était bizarre. Mais, en terme de bizarrerie, il fut servit, et décida d’avouer à sa femme ses origines. Cette dernière, ne le crut pas, réponse auquel il s’attendait et, ne voulant pas renoncer à vivre heureux, car son épouse commençait à le croire sérieusement dérangé, il se mit en œuvre de le lui prouver, en lui montrant tous ses livres ainsi que quelques objets magiques. Hélas, Cidalia ne voulu pas entendre raison, se refusant à vivre avec un fou, disait-elle, et elle s’enfuit en Espagne avec Loane sous le bras. Les années passèrent et, la petite fille, devenue maintenant plus grande, commença à comprendre qu’il y avait chez elle quelque chose qui clochait, en effet, à chaque fois qu’on voulait la confier à quelqu’un autre que sa mère, la pauvre femme se retrouvait clouée au lit par une fièvre de cheval, mais cela amusait grandement Loane, dont le visage s’ornait d’un grand sourire, chaque fois que l’incident se produisait. À la veille de ses onze ans, Loane reçut une lettre, lui annonçant son entrée à Poudlard. Malheureusement, sa mère tomba dessus et ne voulut pas que sa fille s’y rende, pensant à son mari. Mais la petite sorcière était pleine de ressource et elle enferma sa mère dans sa chambre, sortie de la maison, et lança les clés par la fenêtre ouverte de la chambre. Elle rencontra alors un sorcier sorti depuis peu de sa jeunesse, et, elle reconnut une des robes qu’elle avait entr’aperçut dans la porte du placard de son père avant qu’elle ne parte. Elle se confia donc à lui, et le sorcier la prit sous son aile, l’amenant chez lui, pour combler son ignorance au monde de la magie. Un peu plus tard, elle se rendit au chemin de Traverse, acheta ses fournitures et monta dans le Poudlard Express, aussi souriante que le jour de sa naissance, contente de retrouver son monde, et celui de son père, mais abandonnant avec quelques regrets celui de sa mère. Loane tenta de reprendre contact avec son père, mais ne le retrouva pas, ce dernier, parait-il, était parti en France, pour tacher de l’oublier. Toutefois, après maintes et maintes lettres envoyées, et toujours sans réponse, un colis (express, je vous rassure) arriva pour la jeune fille ; c’était un furet, animal que Loane adulait par-dessus tout, accompagné d’une lettre d’excuses. La jeune fille (oui, je vous l’avais dit, elle est sensible) se mit à pleurer à chaudes larmes, et continua d’envoyer des lettres à son père, malgré que celui-ci se plaignit qu’elles n’étaient pas toutes lisibles, souvent mouillées par quelques larmes...
Mon origine : Loane est Espagnl du côté de sa mère, ce qui peut expliquer sa joir de vivre, et son côté lève-tard couche-tard.
Ma matière préférée : sortilèges
HRP : comment ai-je connu ce forum ? : par hasard sur un moteur de recherches.