La cité d' Arzakant

Je vous demande deux choses : De l'indulgence et ... de l'indulgence ^^° c'est le premier que je poste ...

- CHAPITRE 1 -

°Peut etre n'aurais-je pas dû ?°
Dans l'espris de la jeune fille, la question se posait. Bien évidement, c'était beaucoup trop tard pour y songer.
Aelita regardait les murs éclatant de blanc autour d'elle. Aucune fenêtre, aucune porte, rien qu'une salle destinée à l'isoler, peut etre meme a la rendre folle. Levant la tete, elle appercut cette fameuse trappe qui la nargait. Mais celle ci n'avait aucune interstice avec le plafond, et n'avait bien entendut aucune poignée. Tout était blanc, meme ses habits, une legere tunique blanche qui ne se tachait jamais.
Soudain, la lumiere baissa rapidement jusqu'a laisser Aelita dans le noir complet. Les murs blancs qui normalement enmagasinait de la lumiere ne la rejetait pas, la laissant seule dans la petite piece sombre. La jeune fille connaissait déja la suite. Dans quelques secondes, elle serait endormie. En effet, sans bruits, une fumée vint remplir la piece, invisible et soporifique. Aelita déja assise attendait ... elle s'endormit alors. Comme d'habitude, lorsqu'elle se reveilla, la lumiere s'alluma d'elle meme. En fait, tous venait a croire que quelqu'un l'observait a travers les murs. Mais a son arrivée, Aelita avait tappé les cloisons le plus fort possible et crier ... personne ne l'entendait, personne ne la voyait. Elle avait eu le temp d'examiner le mur. Que dire ? Un mur tous simple. Peut etre meme insonore. Elle était là, enfermée, coupée du monde exterieur.
Au milieu de la piece était posé sur un plateau en inox son repas. Elle n'avait aucune conaissance des jours et des nuits. Elle comptait que pour trois repas était égal a un jour. Sauf que si c'était le cas, elle serais ici depuis trois semaines déja. Trois semaines enfermée, a songer : commment pourrais elle s'echapper ? Elle regarda le repas. Commed 'habitude, un petit pain, une petite caraffe d'eau, et quelques légumes. Aujourd'hui, elle avait des épinards. Elle prit le pain et commenca a le manger. Elle en avait marre d'etre ici, et le pire, c'était l'ennui. Aelita but une gorgée d'eau, et non sans une grimace, commenca a manger les épinards a l'aide d'une fourchette tordue. La jeune fille avait déja essayé de garder la fourchette, mais lorsqu'elle se rendormit dans ce sommeil artificiel agrémentant ses repas, l'ustensile avait disparut. Tous comme ses taches d'ailleur. Elle avait essayé un jour, pour voir, de faire une grosse tache sur sa tunique. Lorsqu'elle s'était reveillée, la tache avait disparut, et la tunique était toujours aussi blanche et nette.
Aujourd'hui, Aelita ruminait ses pensées et ses actes comme tous les autres jours. Il y avait forcément une faille dans le systeme, forcément quelque chsoe qui ferais plier les membres du Conseil. Elle avait regretté ses actes, maintenant, elle était furieuse et mourais d' envie de les reproduires.
Finalement, apres ce qu'elle comptait etre la cinquieme semaine, une occasion de s'echapper se présenta. Un homme devait arriver l'emmener au laboratoire ... mais elle ne le savait pas encore.

justement, c'est fait expres ... la suite va etre un instnat un peu obscur, puis elle va faire un saut en arriere pour vous faire comprendre ... sinon ca le fait pas

mais ca me rassure que ce soit correct.

Merci beaucoup !

Exelent bravo !

MICI !!

J'écrirais la suite cette semaine et je la retranscrirais sur l'ordi ce week-end ...

Je suis vraiment trop fatiguée, je ne vous explique pas maintentant ... aller hop ...


CHAPITRE 2-

La jeune fille ouvrit lentement les paupieres. Combien de temp avait elle dormi ? Elle n'en savait rien. Devant elle était posé le plateau en inox bien connu. Aelita s'était livrée a un test au repas d'avant. Elle n'avait pas touché au repas et avait attendut. Celui ci avait bien sur disparut, mais elle s'était vite appercut que son ventre resté vide criait famine. Elle s'était maudit elle meme et avait attendut. Elle s'appercut donc que malgré le fait qu'elle n'avait pas mangé, ils n'avaient pas remit le meme plateau. Cela ne l'avancait en rien a vrai dire, mais peut etre n'était elle pas la seule apres tous ? Elle se précipita sur le plateau repas et cmmenca a manger la pomme. Son jus était tres agréable a manger, et Aelita n'en avait pas souvent. Elle esperait que ce gout ne disparaitrait jamais malgré tous. Le pain et la pomme finie, elle se mit dans un coin de la piece et se demanda comment réagiraient ceux qui se trouvaient au dessus si elle ne mangeait plus. Elle en vint a la conclusion qu'elle meme ne pourrais pas tenir cette épreuve et qu'ils utiliseraient peut etre une transfusion, qui sait ? C'est sur ces pensées qu'elle se rendormit enfin.
Elle se reveilla soudainement, de peur. Elle était soutenue par un homme en blouse blanche qui regardait devant elle. Elle était asser légere pour qu'il la soutienne seule apparement. Aelita feignat de dormir. Il ne disait rien. Elle venait juste de sortit de la piece apparement, car la luminosité changea. Se risquant a jeter un coup d'oeil, la jeune fille remarqua qu'elle était dans un couloir vide. Un fauteuil roulant sur le coté attira son attention. L'infirmier semblait s'en approcher ... Il ne voyait pas le visage de la jeune fille qu'il pensait toujours endormie et ne se méfia pas. Aelira, trimbalée comme une poupée, se décida à agir. Arrivée asser près du fauteuil, elle se dégagea et envoya l'engin sur l'infirmier surpris. C'était asser lourd, et lorsque la colision arriva, l'homme tomba a terre, trop surpris pour bouger. ... Aelita courait dans le batiment sans fenêtres, sans alarmes d'ailleurs et arriva face a une simple porte en fer ; elle hésita. Un coup d'oeil derriere elle fini de la convaincre. L'infirmier s'était relevé, courant vers un boitier rouge ... La jeune fille appuya sur la poignée de la porte, l'ouvrit, et entra dans la piece, tandis qu'une alarme braillait dans tous le batiment, verrouillant chaques portes en cas d'évasion. Aelita se vit donc enfermée dans cet endroit inconnu. Elle se retourna.

Devant elle s'étendaient quatre lits pourvus de liens de cuirs résistant, trois des lits enprisonant une personne ... trois jeunes filles en l'occurence. Au pieds de chaques lits était enfermé un animal. La jeune fille s'approcha du lit tous à gauche. Elle reconnu Lenae. Ses cheveux blonds cascadant autour de son visage devenu pâle, fermé sur des yeux magnifiques qu'elle savait jaunes. A coté du lit, par terre, dans une cage, dormait un léopard gracieux et tranquille. Sur le lit d'a coté, Aelita vit Miary, ainsi qu' Algaro, l'aigle aux grandes ailes repliées ... Puis Jaina avec Lial, tous deux endormis, comme les autres. La jeune fille s'approcha du dernier lit. Il était vide, les liens pendaient dans le vide, attendant quelqu'un sur qui refermer leur emprise. Aelita fut d'un doute qui se confirma lorsqu'elle se pencha pour observer la cage au pied du lit, renfermant un loup réveillé cette fois ci, un loup au pelage soyeux, et noir, et qui regardait la jeune fille de ses yeux gris. D'un seul regard, La jeune fille et le loup se comprirent.

"EORN !!!"

Le loup inclina légerement la tete, et parmis l'alarme continuant a brailler, il poussa un hurlement.