A la recherche d'une licorne

Il était 18h00 .... la nuit était presque complète, et Juliette avait choisis cette heure précise pour venir .... elle avait reussit à avoir trois licornes apprivoisées pour son magasin ZOOSHOP, mais à présent, elle voulait en trouver une non apprivoisée .... elle avait eu l'accord du ministère afin d'en capturer une et de tenter un apprivoisement ... elle avait passé une journée entiere à se renseigner le mieux possible sur cette capture .... mais c'était réellement compliqué ... bien sur, elle devrait avoir recourt à un sortilege, elle tenterait la stupefixion, mais elle devrait alors trouver un moyen rapide de l'enfermer et annuler le sortilege de stupefixion, où la bete pourrait mourir de stress .... elle avait dans un sac en bandouillère plusieurs plantes qui attirent les licornes, dans une main sa baguette à l'aide de laquelle elle faisait leviter au dessus d'elle une large cage .... elle la deposa dans l'herbe et sortit de sa poche plusieurs herbes qu'elle remua dans ses mains ..... elle les posa un peu plus loin et revint se poser près de la cage (qu'elle cacha derriere un buisson) ,et se tint derriere un arbre. Elle avait sa baguette dans son bras et elle était prete à lancer un sortilege ... elle n'avait plus qu'à attendre l'arriver de cette magnifique bête argentée ....

Poufsouffle Nombre de messages : 92 Date d'inscription : 02/03/2006

Madhavi Sedna se promenait tranquillement dans le grand parc de Poudlard, et voyant que la visibilité baissait à vue d'oeil, elle regardat sa montre, afin de prévoir le temps qu'il lui restait pour rejoindre son dortoir. 18h00 ... D'après ce qu'elle se souvenait, que la directrice lui avait annoncé le matin même, lors de son arrivée, il lui restait donc encore 1 heure et demi avant d'être obligée de revenir entre les murs du château. C'était bien plus que ce qu'il lui fallait, vu sa position, et se trouvant à une centaine de mètres de la "forêt interdite", elle décida d'aller dans cette direction, afin de revenir vers le château en longeant la lisière de la forêt. Avec un peu de chance, elle pourrait peut-être apercevoir une de ces multiples créatures rares dont la rumeur disait qu'elles rôdaient dans cette forêt.
Le temps d'imaginer ce qu'elle pourait apercevoir, et la voila arrivée à une dizaine de mètre des premiers arbres de la forêt. Elle commençat donc à longer cette étendue vert-sombre, tout en scrutant la pénombre qui avait déjà envahit cette zone des plus mystérieuses de Poudlard. Elle avançait donc lentement, prenant tout son temps, quant elle aperçut quelque chose, enfin. Elle s'arretat, tentant de dicerner ce dont il s'agissait. Cette créature avait une forme humanoïde, et ce n'était pas pour rien, car il s'agissait bel et bien d'un être humain. Il s'agissait de Juliette MacGregor. Madhavi le savait, car Juliette faisait partie des quatres personnes l'ayant accueillie le matin même, avec les trois autres dirigeants de Poudlard: Elianor Brown, la directrce en chef, et Ron Weasley et Missari Elthoria, les deux autres sous-directeurs avec Juliette.
Juliette était donc située à une petite centaine de mètres de la lisière. Madhavi attrapat un lassot en peau de cobra royal, jusque là accroché à sa jupe, et prenant sa baguette, lançat un sort dessus. Elle rangeat ensuite sa baguette, et fit claquer son lassot, qui s'étendit longuement, jusqu'à une grosse branche d'un arbre, et s'enroulat solidement autour de cette branche. Madhavi, tenant fermement son lassot à l'autre bout, sautat en avant, et le lassot se rétractat de lui même à une grande vitesse, projetant Madhavi vers la branche de raccrochage. Madhavi était maintenant posté, les pieds contre le tronc de l'arbre, en contraction, et les mains tenant toujours aussi fermement son lassot, toujours accroché à la branche. Elle avait désormais une bien meilleure vue de la scène, puisque se trouvant à à peine une dizaine de mètres.
Elle espérait ne pas avoir fait trop de bruit, et attendait patiemment la suite de la scène qui se déroulait sous ses yeux.

A peine quelques minutes après que Juliette se soit postée derrière cette arbres, elle entendit un bruit .... elle était incapable de trouver l'origine de ce bruit .... une sorte de clacage .... elle tourna le te à droite, car s'était là dont était provenu le bruit ... elle avait immédiatement sortit sa baguette ! Elle savait que se n'était pas une licorne car ces créatures sont silencieuses ... elle esperait de tout son coeur qu'elle se trouverait face à face avec quelqu'un qu'elle connait et pas .... queque chose .... une acromentule ? Un centaure ? Juliette avançait à pas de loup, sans faire le moindre bruit, elle s'était chaussée de baskets spéciales qui ne faisaient aucun bruit ... elle perçut une forme sur une branche ... oui, cette forme était celle d'un humain, elle en était sur, mais pas un adulte ... Elle jetta un regard en arriere vers le plantes qu'elle avait posées, aparemment, aucun licorne n'était encore là .... Juliette hésita, puis d'une petite voie demanda :

Il .... il y a quelqu'un ?

Elle s'avançait toujours vers cette forme qui maintenant aparaissait nettement comme celle d'une fille. Puis Juliette s'avança d'un pas décidé et reconnu la jeune fille étrangement postée sur la branche de l'arbre.

Oh, Bonjour ! Tu es .... Madhavi c'est ça ? Oui ! Je t'ai vu ce matin !

Elle souria et jetta encore un regard en arriere ... non aucune licorne, mais de toute façon, si une d'elles passait par là, elle entendrait les sons des voies de Juliette et de Madhavi et s'enfuierait. Juliette regarda le lassot, et la façon de se tenir de Madhavi. Elle decrocha un large sourire.

C'est quoi ta technique pour monter aux arbres, exactement ?

Poufsouffle Nombre de messages : 92 Date d'inscription : 02/03/2006

Madhavi observait Juliette de là où elle était postée, et vu sa réaction, et son air quelque peu inquiet, elle n'était pas passée inaperçue. Elle vit Juliette tourner quelques secondes autour de l'arbre, puis lui adresser la parole. Elle était assez déçue d'avoir été découverte, surtout que d'après ses souvenirs, elle n'avait rien à faire ici, mais elle savait ce qui l'avait trahie: le bruit du fouet, elle n'avait pas pensé que ce bruit assez fin devenez nettement plus audible dans le calme du crépuscule, ou aucun autre son ne perçait. Et puis après tout, elle avait été assez sotte de penser qu'une des directrice adjointe de l'école aurait le moindre mal à la trouver, elle, une simple élève.
Et puis apparement, Juliette ne semblait pas le moins du monde mécontente. Elle répondit donc à sa première question d'une voie calme:

- euh, bonsoir plutôt, il me semble ... oui, je suis Madhavi en effet ... et vous êtes Juliette McGregor, c'est bien ça?

A sa deuxième question, elle décrochat son lassot, et se laissat tomber en bas de l'arbre, se réceptionnant assez bien, en vacillant un peu néammoins.

- Ma technique? Oh, il n'y a pas vraiment de technique en fait ... je me sert juste de mon lassot (tend son lassot à Juliette pour lui montrer) En fait, je l'ensorcelle juste avant de m'en servir, afin qu'il s'étende de lui même lorsque je le fais claquer, vers là ou je veut qu'il s'accroche. C'est le sort "élongo", c'est mon père qui me l'a appris, c'est pas un sort très dur, il me l'a enseigné lors de ma deuxième année ... Ensuite, si on avance, le lassot se racourcit de lui même, pour rester tendue, il suffit donc de sauter prestement en avant, et il va t'emmener là où il est accroché, sans que t'es trop d'efforts à fournir ... et pour rester accrochée à l'arbre, il suffit de bien tenir le lassot, et de bien forcer avec les pieds sur le tronc, c'est tout ...

Madhavi s'arrêtat cinq secondes de parler, observant la réaction de Juliette, avant de conclure:

- En gros, je ne monte pas vraiment aux arbres, je me laisse transporter, et je n'ai plus qu'à m'y agripper ... Donc voila pour ma "technique" comme vous dites ... et vous, vous faites quoi ici?

Montrant la cage laissée derrière le bosquet, et le tas de fioles et d'herbes en tout genre:

- Vous traquez une créature? Je peut vous aider?

Juliette souria et jetta un coup d'oeil à sa montre ... 18h15 à présent ... il n'était pas tard ... mais Madhavi n'était pas vraiment censée être ici ... Juliette ne lui avait rien repproché car elle était un peu stressé par sa capture ... la cueillette des plantes avaient été longues et perilleuses et elle ne se sentait pas de la recommencer un autre jour ... Elle préfère tout de meme conseiller Madhavi :

Tu ne devrais pas rester seule dans la foret ... enfin, pour l'instant, nous sommes encore pretes de la lisière, mais ne t'éloignes pas plus sans etre accompagnée d'un membre du personnel.

Elle souria puis l'écouta attentivement parler de sa "technique" tout en regardant le lassot qu'elle lui avait tendu ... elle le "caressait" des doigt reconnaissant cette rare matière .... elle laissa Madhavi finir sesexplications et répondit :

C'est de la peau de cobra n'est-ce pas ? Une excellente qualité ... j'espère que tu ne m'en voudra pas si j'essaye aussi ce sortilege !

Elle souria à la seconde question de la jeune poufsouffle et répondit avec enthousiasme :

La licorne ! Oh ne t'inquète pas, se n'est pas pour lui faire du mal, c'est pour mon animalerie ... j'ai une autorisation du ministère, si j'en attrape une je vais essayer, je dis bien essayer, de l'apprivoiser ... J'accepte ton aide, tant que tu restes avec moi ... la premiere régle sera d'être extremement silencieuse, viens voir ...

Elle lui fit signe de la suivre en marchant doucement et se posta derriere l'arbre où elle était quelques minutes avant ... le tronc était assez épais pour les cacher toutes les deux, et meme une troisieme personne. Elle chuchota à la jeune fille :

J'ai mit une mixture spéciale de plantes à quelques metres devant .... elle attire les licornes, dès qu'il y en aura une, je la stupefixerai, et rapidement, tu me seras ici très utiles, je devrais la metre dans une cage que j'ai caché dans les buissons derriere, refermer la cage et liberer la licorne du sortilege afin que le stress de la tue pas ....

Elle souria, et soudain, un bruissementde feuilles se fit entendre ...

La nuit commençait à tombé quand John sortit de l'école. Il avait une envie de sortir, de prendre l'air, il ne savait pas pourquoi mais il avait envie de ressentir le froid. Lorsque John sortit du château, il eut un grand sourir, voilà une bonne journée qui se termine. John s'étira puis descndit les marches qui menait au parc. Il le traversa et vit les dernier points de lumières qui disparaîssaient. John lanca un lumos et sa baguette s'alluma. John se dirigea alors vers la Forêt Interdite, John aimait cette forêt, la peur qui y règnait le rendait joyeux. John aimait la peur autant que les ténèbres, ce n'était pas pour rine qu'il était devenu mage noir. John se trouva à la lisière de la forêt, regarda autour de lui pour voir si personne ne le suivait puis il entra. John avança d'un pas normal et décidé. Il prit le chemin de droite puis s'enfonça dans le coeur de la forêt. Dans sa mini promenade, il vit des centaures passé devant lui sans le voir puis il entendit des voix. Ces voix venait des sous-bois, John s'approcha pour mieux écouter et pour voir qui parlait. Quand John entendit le mot licorne, il sourit car la voix qui l'avait dit était celle de sa soeur, Juilette. John sourit puis essaya de savoir qui était son interlocuteur, il vit une fille de type nord africaine, John la reconnu, c'était la batteuse de l'équipe de Poufsouffle, Madhavi Sedna. John s'approcha doucement mais soudain, il glissa et vit les deux jeune filles se retourner vers lui. John se leva et mit une capuche sur son visage. Il s'avança et se fit voir des deux filettes.

Tiens tiens qui voilà. Juliette McGregor et Madhavi Sedna. Alors que faites vous de beau?

Poufsouffle Nombre de messages : 92 Date d'inscription : 02/03/2006

Madhavi écoutat attentivement ce que Juliette avait à lui dire, ses semblants de sermonts d'abord, puis ses "aveux" sur ce qu'elle tentait de faire, et comble du bonheur, le fait qu'elle allait pouvoir l'aider dans sa quête d'une licorne. Cependant, une question lui venait encore à l'esprit, après ça.

- Oui, vous avez raison, je ne devrais pas être seule dehors, surtout dans cette forêt ... mais je ne suis pas seule, là, puisque je suis avec vous, et vous faites bien partis du personnel, n'est-ce-pas?

Puis elle se tut, en attente du verdict de Juliette, sur sa réflexion des plus pertinentes, quand un bruit se fit entendre, tout léger, derrière un buisson, à une cinquantaine de mètres sur leur droite, donc plus à l'intérieur de la forêt. Au même moment, un autre bruit survint, un peu plus proche, à une dizaine de mètres, mais qui venait de la gauche cette fois, donc de l'aurée de la forêt. Et ce second bruit était beaucoup moins discret que le précédent. D'ailleurs, une tache blanche, avec des reflets argentés surgit du bosquet d'où était venut le premier bruissement. Une licorne! Malheureusement, affolée par le bruit de chute, elle venait de prendre la fuite sans demander son reste. Il ne restait donc plus à Juliette et Madhavi qu'à attendre encore, qu'une autre licorne viennent se prendre au piège, mais tout d'abors, il fallait aussi qu'elles éclaircissent la cause de ce brouhaha qui avait fait fuir leur magnifique proie. Elles se retournèrent donc, et virent un élève, qui arrivait vers elle en rabattant sa capuche sur son visage, quelques brindilles prisent dans ses manches. On ne voyait pas grand chose dans cette pénombre, mais l'écusson "Poufsouffle" cousut sur sa cape était assez visible à la clarté de la lune. Madhavi se baissat, afin de voir tout de même à qui elles avait à faire malgré cette capuche, et surprise, cette personne faisait partie des rares qu'elle avait déjà vue.

- Dit ... tu ne serais pas ... mince, comment c'est déjà ... ah oui, John McGregor, par hasard? ... (prends un air faussement autoritaire, bien que réellement frustrée) Et bah sache qu'on peut dire bonsoir, quand on est polie! non mais. d'ailleurs, tu nous a fait louper ce qu'on cherche, au cas ou tu saurais pas ...

Tout à coup, Madhavi semblat réfléchir quelques instants, puis son regard se posa successivement sur John et Juliette, allant de l'un à l'autre avec des yeux tantôt crispés, tantôt plus écarquillés.

- Mais au fait, Juliette ... votre nom à vous aussi c'est McGregor, non? ... Vous avez des liens de famille tous les deux?

Juliette regardait fixement le buisson d'où le bruit provenait .... à présent, des branches s'agitait ... elle sentait son taux d'adrénaline monter dans ses veines, il fallait à tout prix qu'elles réussissent, car si c'était bien une licorne qui se présentait, la chance leur souriait car cela faisait moins d'une demi heure qu'elle attendait .... Madhavi lui posa une question et Juliette, sans quitter des yeux le buisson, lui repondit d'une voie à peine intelligible :

Oui, c'est pour ça que tu dois absolument rester avec moi .. mais .... ohhhh !!

La licorne venaitde surgir ... splendide ... la lumière de la lune qui avait traversé l'épais plafond que formait la cime des arbres éclairait sa robe argentée .... elle était magnifique, Juliette estima qu'elle n'avait pas plus de 3 ans, ce qui était une vrai chance ... aucun blessure n'aparaissait, sa corne paraissait dans un excellent état ... elle s'approcha du tas de plantes, méfiante mais soudain, un bruit derriere les deux jeunes filles fit sursauter Juliette et enfuir la licorne. Le jeune fille poussa un juron et un exclamation de colère, puis rougit en sentant qu'elle avait donné le mauvais exemple. Elle se retourna afin de voir la cause de ce vacarme ... une tache noire était visible sur le sol, qui se releva, remit sa capuche empechant aux filles de voir son visage.... mais la voie de la personne ne put tromper un instant de plus Juliette : c'était son frère, John McGregor ! Elle n'était pas mécontente de le voir, tant qu'il n'allait pas à nouveau essayer de la convaincre qu'elle avait un côté noir ! Il leur parla d'un ton plutot impoli qui déplut à Juliette.

John, en effet tu aurais pu dire Bonsoir ... surtout que tu n'as aucune raison de te sentir supérieur après ce que tu viens de faire ! Je suis en train d'essayer de capturer un licorne, et il y en a une qui venait de surgir, splendide, en parfaite santé et jeune et voila que tu la fait fuir ! Madhavi et moi allons peut etre devoir attendre des heures de plus !

Elle croisa les bras. Mécontente. Elle regarda derriere elle dans l'espoir qu'elle savait déjà reduit à 0 de revoir la licorne ... et se retourna vers son frère et Madhavi lui demanda si ils avaient des liens de famille.

Oui, John et moi sommes frère et soeur ....

Hj John, tu es là en tant que mage noir ... pas élève je suppose ? Comme moi je suis là en tant que directrice et non élève ... parce que sinon, je te mettrai volontiers en retenue car les élèves ne sont pas autorisés à être seul dans la foret, frerot ! Hj

Hj Ne t'en fait pas, soeurette je suis là en tant que mage noir.

John ne fit rien quand la licorne s'encourut après sa chute. Il riait plutôt, lorsque Mahavi et Juliette l'accusait d'avoir fait fuir une jolie jeune licorne, il ria de plus belle. Comment pouvait-on avoir de la compassion pour une créature aussi moche et désagréable sougea John. Puis John regarda sa soeur avec un regard pénétrant et noir. John soutint se regard pendant un bon 5 min. Seul un raclement de gorge de Mahavi le fit sier l'oeil. John se tourna vers elle, la regarda d'un air dégouter. Puis il lui méchamment.

A quoi bon dire bonsoir, si on vas passé une mauvaise soirée. Vois tu, Mahavi, je ne suis aps comme les autres et tu me fait encore une fois la leçon et je te jure que tu vas voir comment sont les ténèbres. Je te conseil donc de te taire.

Puis un léger vent se leva pendant 30 seconde mais John avait l'air d'être content de sentir ce petit vent frais. John regarda en l'air pour mieux capter le vent puis il dit à Juliette

Tu sens Juliette? La présence de notre vénérée Tante défunte. Moi je sens sa présence, et ça me fait du bien. Tu savait que c'est à moi qu'elle doit sa mort?

John rabessa sa tête et regarda Juliette en souriant.

Poufsouffle Nombre de messages : 92 Date d'inscription : 02/03/2006

A peine John arrivé, l'ambiance était descendue bien vite entre lui et sa soeur. Ils avaient beau avoir le même sang qui coulait dans leurs veines, il n'en demeurait pas moins qu'ils semblait se détester l'un et l'autre. Au bout de 5 bonnes minutes d'un silence pesant et ennuyeux, Madhavi se raclat la gorge, ce qui avait souvent pour effet dans des moments pareils, bien que ça n'était pas une action magique, de délier les langues. Cette fois encore, ça ne loupat pas, et ce fut John qui coupa se silence qu'il avait lui même instauré par sa seule présence, en lançant à Madhavi une réplique des plus cinglantes, sans se géner pour la regarder de la façon la plus hautaine possible. Elle s'empressat de répondre à sa réplique, qui la faisait plus sourire qu'autre chose, vu ses origines.

- Et bien "malsoir" alors, si tu y tiens tant! Mais sache d'ores et déjà que je n'ai pas l'intention du tout de passer une mauvaise soirée, pour ma première soirée en ces lieux! Et puis, je ne pense pas que ce seras toi, avec ta capuche sur les yeux pour te donner un genre "mage noir", qui m'apprendras comment sont les ténèbres. Mais puisque tu te crois si fort que ça dans ce domaine, tu devrais savoir que l'Egypte est le berceau même de la magie noire, mes plus vieux ancêtres il y a des millénaires, ont été les inventeurs de cette magie que tu semble admirer.

Elle marquat une courte pause, juste le temps de reprendre son souffle, sans que John ait le temps de la couper, et s'avançat brusquement vers lui, posant son index au niveau de son torse.

- Et d'ailleurs, nous avions quelque chose qui devrait t'interesser, dans mon ancien collège, puisqu'on suivait des cours d'Histoire de la magie noire, avec, cela va sans dire, quelques applications de sorts noirs, dont je te ferais une démonstration en temps réel, si tu ne nous laisse pas tranquille à nos occupations, ta soeur et moi-même!

Finissant sa phrase, elle poussat John du bout de son index, qui était resté posé sur son torse, le faisant un tout petit peu reculer, afin de bien lui faire comprendre que les deux filles n'avaient pas besoin de lui ici.

Juliette était terriblement déçue que cette soirée prenne cette tournure ... elle avait pensé pouvoir rester des heures dans cette foret, a la recherche d'une licorne, puis lorsqu'elle en aurait eu une, elle serait rentré au magasin, et aurait commencer à l'habtituer à la grande prairie, derriere le magasin, abritée du regard de quiconque, qu'elle avait achetée qu'elle jours plus tot ... Madhavi était arrivée, et cela l'avait encore plus réjouie .... et puis John ... oui John .... elle se demandait si un jour il arriverait à discuter comme de réel frères et soeurs, oubliant un instant leur différence .... mais pour l'instant, cela était totalement inenvisagable ! John repondit à Madhavi et celle ci lui relança une réplique à la figure quelques secondes après ... Lorsque Madhavi eut fini sa première réponse, Juliette enchaina :

En effet John, je ne pense pas que tu es besoin de généraliser ton cas ... tu es le seul ici, qui a l'intention de passer une mauvaise soirée !

Elle eut un sourire mesquin puis Madhavi se mit à parler de l'égypte et de ses ancetres ... elle pointa un doigt sur John et Juliette aurait voulu lui dire qu'il ne vallait mieux pas, mais elle ne pouvait donner à John cette satisfaction .... Puis John dit soudain parla de leur "défunte" tante et Juliette ouvrit des yeux totalement etonnés. Elle le regarda avec méfiance :

Notre tante n'est pas morte .... du moins pas à ce que je sache, John ! Qu'est-ce que tu racontes ?

John eut un sourir noir lorsque Mahavi lui parla de l'Egypte, il n'était pas du tout impressionné par cette fille qui criyait se connaître mieux que lui, apprentit d'une mage noirs puissante. Elève de professeur qui la pratique depuis des année, et lui chef d'un clan de mage noirs. John la dévisagea et la nia complètement, à quoi bon parler à une idiote se dit-il. John respira une grande fois puis se retourna vers sa soeur. Lui fit un autre sourir, plus radieux et plus content. Puis un rire sorti de sa bouche. John lui dit alors dans un murmure pou pas que Mahavi ne l'entende.

Tu crois vraiment qu'elle vie encore, elle était puissante mais trop naïve.Hahahahahaha

Le rire raisonna dans la forêt, Mahavi eut un petit sursaut mais rien de plus. John lui jeta un légé coup d'oeil. Puis il décida d'arrêter de la nier et lui dit calmement

Tu me crois inculte, sache que tu as devant toi l'un des plus puissant mage noirs de notre temps. Fait attention à ton language.

John pointa sa baguette sur Mahavi, menaçant il voulais lui faire retirer son insolance.

Poufsouffle Nombre de messages : 92 Date d'inscription : 02/03/2006

Madhavi, fraichement arrivée dans cette école, ne connaissait pas encore les personnes à y éviter, les personnes particulièrement puissantes ou justes chiantes, et les personnes qui au contraire respirait la gaieté et ne demandaient qu'à être rencontrées. Elle prenait donc John pour une simple forte tête, ne pensant pas qu'un simple élève, même en 6ème ou 7ème année d'étude, puisse être doté d'un pouvoir fortement développé et contrôlé.
Mais pareillement, si elle ne connaissait donc rien de John, l'inverse était aussi totalement vraie. Ce dernier ne savait donc pas qu'en Egypte, ou les mages noirs sont monnaies courantes, son père avait jugé judicieux de mettre un très fort accent sur l'apprentissage plus que poussé de sorts de protection. Aussi, après quasiment 15 ans d'apprentissage (ce qui correspond donc à son âge), Madhavi connaissait sur le bout des doigts tous les noms des sorts de mages noirs, ainsi que leurs effets, bien qu'elle ne savait en utiliser qu'un nombre très restreint, et pas dans les plus destructeurs, et elle connaissait aussi, cela va sans dire, un sort de protection contre tous ces sorts. Son seul point faible résidait donc dans l'attaque, car en s'acharnant ainsi sur l'apprentissage de sorts de protection extrêmement puissants, elle avait complètement occulté l'apprentissage de sorts d'attaque, et n'en connaissait qu'une petite dizaine.
C'est donc pleine de confiance en ses connaissances, qu'elle souriat de plus belle à la baguette de John.

- "L'un des plus puissants mages noirs de notre époque", voyez-vous ça ... Et que fait "l'un des plus puissants mages noirs de notre époque" dans une école qui est ouvertement anti-mages noirs? Qui plus est dans une maison telle que Poufsouffle ...

Elle marquat une petite pause, rigolant doucement lorsque John lui demandat de faire attention à son language, dans le but très clair de l'intimider.

- Mais mon cher John, je fais extrêmement attention à mon language et au vocabulaire que j'utilise, et c'est justement parceque j'y fais très attention, que je m'adresse à toi comme je le fais en ce moment même ...

Son regard passat de John à Juliette, qui n'avait pas l'air dans son assiette, sûrement intimidé par son grand frère, et cela était compréhensible, la pauvre ne savait surement plus quoi faire entre conserver au mieux ses liens avec John, ou lui déclarer ouvertement la guerre, comme à tous les mages noirs qui s'en réclamaient ouvertement. Puis elle reprit:

- Bien, "monseigneur" John, je m'excuse pour cette petite anicroche, mais vois tu, nous avons une excellente soirée à passer, moi et ta frangine, alors si tu pouvais nous laisser seules, maintenant, tu serais vraiment aimable ...

Bien que ces paroles aient été dites avec une grande ironie, surtout l'accentuation de Madhavi sur les mots "monseigneur" et "excellente soirée", Madhavi considérait tout de même cette affaire comme close, et avait tourné le dos à John, et se dirigeait en direction des herbes et de la cage. En passant au niveau de Juliette, elle lui murmurat de laisser tomber cette affaire, et lui tirat doucement sur la manche, pour l'inciter à la rejoindre.

John sentit la rage de détruire cette mégaire montée en lui. Comment pouvait-on le traîter lui, John McGregor, mage noir réputé, de minable et de lui parler avec tant d'insolance. Les yeux de John devinrent rouge sang, puis un vent se leva et John s'avança vers Madhavi lentement et plein de rage. Sa baguette toujours pointé sur Madhavi, John se tourna alors vers sa soeur et la regarda rien faire contre lui. Ce qui n'était pas dans ses habitudes, car lorsque John fesait usage de sa magie noir, normalement Juilette s'empressait de le faire arrêter mais ce soir là, Juiletrte restait à regarder. John sourit, enfin il pourrait détruire une personne devant sa soeur et lui montrer qu'elle possède des pensée noires en elle. John regarda à nouveau Madhavi puis il lui dit d'une voix froide et remplie de haine.

Personne, tu m'entend, personne ne parle comme ça. Tu vas le payer de ta vie Madhavi, mais j'aime le jeu, je ne sait pas si tu joue au même jeux que moi mais on vas jouer au mien avec mes règles. Hahahahahahahahaha

John s'avança toujours vers Madhavi qui s'était arrêter. John arriva à sa hauteur et la prit à la gorge la souleva puis pointa sa baguette sur le bas de son ventre et appuya. Puis John leva la tête, regarda Madhavi qui se débattait et dit d'une voix haute et clair.

Endoloris

Juliette regarda son frère avec un regard étrange .... un regard qui ne lui était pas habituel ! Ces yeux cillaient plus souvent, elle était destabilisée ... John ne mentait en disant que sa tante était morte, elle le savait ... elle connaissait assez bien son frère pour voir qu'il n'y avait rien en lui qui montrait le mensonge ... Elle ne comprenait pas ... que c'était-il passé pour que meme ses parents ne le savent pas (sinon, ils lui en aurait parlé). La deuxieme question qu'elle se posait était de savoir si son frère ou non avait commit le meurtre ... il avait dit "c'est à moi qu'elle doit sa mort" puis "elle est trop naïve" .... devait-elle être heureuse ? Sa tante morte ne viendrait plus l'harceler et ne tuerait plus personne, mais son frère allait la remplacer ... plongée dans ses douloureuses pensées, elle ne preta aucune attention à la discussion entre Madhavi et John. Soudain, un hululument dans le foret lui rappela ce qui se passait et c'est à ce moment précis que John brandit sa baguette sur la jeune poufsoufle.Elle mit quelques secondes à réaliser ce qui se passait puis, sans prendre le temps de réfléchir elle sortit sa baguette et, dans le même temps, se jetta sur son frère au moment où il lançait le sort impardonnable qui devia et alla percuter un arbre. Juliette, dans son élan, avait poussé John à terre et imméditament, elle s'était mise au dessus de lui et pointait sa baguette sur lui.

John, je ne m'abaisserai pas, pour l'instant, à combattre contre toi ... mais si tu recommences une tentative de sort, tu le regretteras ! Nous sommes deux, tu es seul, et quoi que tu fasses, jamais tu nous convaincra que tu es un "grand" mage noir !

Elle se leva et le toisa en pointant toujours sa baguette sur lui.

Madhavi et moi allons partir, finir ce que nous faisions. Va t'en !

Poufsouffle Nombre de messages : 92 Date d'inscription : 02/03/2006

Madhavi était donc entrain de réordonner les affaires nécessaires à la capture de la licorne, quand John arrivat à son niveau. Elle se retourna alors pour lui envoyer encore une réplique cinglante à la figure, vut que visiblement, il ne semblait pas avoir compris qu'il devait les laisser tranquille.
Mais John fut plus rapide qu'elle, et profitant du fait qu'elle ne s'attende pas à une attaque par surprise, il la prit à la gorge. Madhavi était une fille de taille moyenne, et plutôt très bien proportionnée, elle ne pesait donc pas lourd du tout, et John, déjà assez musclé, avait ses forces décuplées par une colère non cachée car non contenue. Aussi Madhavi se retrouvat-elle en moins de temps qu'il ne faut pour le dire, soulevée de quelques centimètres au-dessus du sol. Elle tentat de se débattre le plus vivement possible, espérant veinement pouvoir s'arracher à son étreinte, mais n'y parvint pas.
C'est alors qu'il appuyat le bout sa baguette contre son ventre nu. Il ne fut donc pas difficile à Madhavi de deviner ses intentions, surtout après ce qu'il lui avait dit. Il était clair que vu sa colère, John allait directement tenter de lui lancer un des trois sorts impardonnables, ce qui fit monter l'adrénaline de Madhavi. Mais vite, elle se calmat, et décidat, à grande nécessité, d'utiliser les grands moyens, et optat sans plus attendre pour l'utilisation du sort de protection le plus efficace qu'elle connaissait.
Elle tendit une main crispée à sa ceinture, et s'empara vivement de sa baguette magique, puis elle pensat dans sa tête, du plus fort qu'elle pouvait "Protecto Arcani Supremus, Protecto Arcani Supremus". Elle l'avait répété deux fois, en prévision d'un raté. Même si ça ne lui été jamais arrivé depuis qu'elle métrisait ce sort, elle ne l'avait encore jamais utilisé dans de pareilles circonstances, dans un véritable combat. Mais elle sentit un frisson électrique parcourir son corps en un centième de seconde, signe que son sort avait fonctionné. Il ne lui restait plus qu'à attendre l'annonce du sort de John. Si il s'agissait d'un Imperium ou d'un Endoloris, John allait voir de quel bois elle se chauffait, mais si il s'agissait d'un Avada Kedavra, alors elle était entrain de vivre les derniers instants de sa vie.
Le sort ne mit pas longtemps à être annoncé, "Endoloris", la chance était de son côté, et John allait enfin voir comment se débrouillaient les descendants du peuple égyptien.
Mais Juliette, qui était restée statique jusqu'à maintenant, comme plongée dans ses pensées, sautat alors sur John, le désarmant, et envoyant son sort détruire l'écorce d'un arbre. Vu la trace que ce sort laissat, il est clair que même si Madhavi ne l'aurait pas ressentit en se le prenant de plein fouet, sa protection en aurait lourdement patie, et elle aurait dut le renouveller, ce qui représentait une perte de temps, face à un adversaire pareil. Mais maintenant, Juliette se retrouvait à califourchon sur lui, le menaçant de sa baguette, et le sermonnant vivement. Pendant qu'elle finissait son sermont à John, Madhavi en profitat pour reprendre sa respiration, qui était restée coupée durant toute cette scène, soit à peine une dizaine de secondes.
Puis elle se rapprochat de Juliette, qui s'était maintenant relevée. Elle se disait qu'il vaudrait mieux, pour que John les laisse tranquille pour de bon, qu'elle n'en rajoute pas une couche avec ses répliques dont elle seule avait le secret.

- Bien, John, ce serait bête de s'entretuer maintenant, non? Alors s'il-te-plaît, je te le demande une dernière fois ... tu pourrais nous laisser seules?

En prévision, elle tenait tout de même toujours sa baguette dans sa main, mais espérait sincerement ne pas avoir à s'en servir une fois de plus ce soir. Et mine de rien, même si sur le coup, elle avait été un minimum frustrée d'avoir lancé son sort pour rien, elle était plutôt contente à l'idée que tout puisse se finir aussi bien.

John ne bougea pas et Juliette décida de la laisser ici et de choisir un autre endroit pour tenter de capturer une licorne ... de toute façon, plus aucune ne viendrait ici où un tel brouhaha avait eu lieu. Elle fit signe à Madhavi de la suivre et elle fit leviter à nouveau l'érnoem cage dissimulée derriere les buissons. Elle ramassa les plantes qu'elle avait posées et les remis dans son sac, verifiant qu'elles étaient toujours en bon état. Les deux filles marchèrent longuement en allant vers l'ouest mais sans s'avancer triop profondement dans la foret ... Juliette reflechit à nouveau à ce qu'avec dit John sur leur tante ... était-ce seulement possible qu'il l'ai tué alors que c'était à elle qu'il devait un grande partie de ses connaissances en magie noire ? Juliette songea qu'elle devrait le voir pour en savoir plus ... elle écrirait une lettre à ses parents bien qu'elle se doutait qu'ils ne puissent savoir quoi que se soit, sinon il lui en aurait parlé ! Elle prit la decision d'envoyer à son frère le lendemain meme un hibou pour le voir la journée, au parc, à une heureo ù il y avait du monde ... ainsi il ne pourrait pas à nouveau tenter de l'attaquer inutilement !

Bien, mettons nous là ! dit elle lorsqu'elle arriverent vers un endroit semblable au premier. Elle dissimula la cage derriere des buissons et elle se posta avec Madhavi derriere un tronc épais après avoir posé les plantes un peu plus loin .... elles attendirent ainsi en silence, chacune dans leurs pensées, le moindre signe de vie ... mais rien ... au bout d'un moment, Juliette dit :

Je crois que nous sommes trop près de la lisière ... nous allons devoir nous enfoncer dans la foret si on veut avoir une chance de capturer une licorne ce soir ! Retse bien avec moi, et sors ta baguette ...

Elle refit leviter la cage, reprit les plantes et elles entamèrent une nouvelle longue marche dans la foret ... Juliette ne parla pas trop ... Elle n'avait à vrai dire pas envie de parler de ce qui venait de se passer avec John .. un long et pénible silence s'installa donc ! Au bout d'un moment, Juliette s'arreta net et fit signe à Madhavi de faire de meme ... des bruits étranges se faisaient entendre ... Juliette, suivie de la jeune fille, avança a pas de loup pendant une cinquantaine de mètres ..... soudain, une énorme forme noire surgit, munit de huit pattes au bout desquelles des pinces s'agitaient ... une accromentule !

Oh mon dieuuu ! souffla Juliette Vite, cachons nous !

Elle allèrent se refugier derriere une enorme buisson où elle pouvaait voir ce que faisait l'araignée géante ... des formes argentée étaient allongée par terre .... doucemebt, Juliette écarta les buissons et vit les deux licornes ... une des deux, très grande, avait les yeux fermés et du sang s'écoulait tout autour d'elle ... l'autre, en revanche, était toute petite, Juliette songea qu'elle devait avoir environ 6 mois, et paraissait dans un piteux état, mais ces yeux étaient ouverts.

Il faut stoper cette araignée ... on va utiliser le sortilege du saucisson .... en meme temps daccord ? j'espère que ça suffira !

L'araignée s'approcha de la licorne la plus grande, probablement dans le but de la manger, et Juliette compta rapidement jusqu'à trois et s'élença avec Madhavi à travers les buissons, brandissant sa baguette sur l'accromentule.

PETRIFICUUUUUUS TOTALUUUUS !!!!!!!!!!!!!!!!!!

Poufsouffle Nombre de messages : 92 Date d'inscription : 02/03/2006

Apparement, ce que Madhavi avait dit à John avait fait mouche, car ce dernier ne bronchait toujours pas, comme statuifier par ses paroles. Elle vit Juliette lui faire un signe, afin qu'elle la suive plus en profondeur dans cette noire forêt. Effectivement, si c'était une licorne que Juliette voulait trouver ce soir dans cette forêt, ça n'était pas avec tous ces bruits de disputes totalement dus à la venue de John qu'une autre licorne allait faire son apparition. Elle suivit donc la jeune fille de Gryffondor qui la guidat jusqu'à un autre bosquet, mais au bout d'un certain temps passé sans qu'aucun bruit ne se soit produit, à part celui produit par le passage d'un hibou suivit de près par une immense colonie de chauve-souris, Juliette décidat très justement qu'il valait mieux changer de coin. Aussi les deux compères reprirent-elles leur route, jusqu'à un peu plus loin.
Mais plus loin dans la forêt, la lumière perçait beaucoup moins, et l'ambiance et le contexte semblaient beaucoup plus glauque et dangereux, aussi Madhavi avait-elle sa baguette en main depuis quelques secondes, fixant l'obscurité profonde où elle se troiuverait quelques minutes plus tard, lorsque Juliette lui demandat le plus sérieusement du monde de la prendre en main. Et ce fut en silence qu'elles avancèrent dans la forêt. Madhavi jetait par moment des regards inquiets autour d'elle, sentant quelques choses le froler par moment, et même en se disant que ça ne devait être que des branches ou des feuilles portées par le vent, elle ne pouvait s'empêcher de frissoner à ces moments là.
Un moment qu'elle observait l'ombre bizarre que faisait un arbre sur le sol, à un endroit où la lumière réfléchit par la lune passait, Juliette stoppa net son avancée qui était jusque là assez rapide et soutenue. Puis elle sautat sous un fouret, entrainant Madhavi par la manche avec elle.
Madhavi regardat vers le même endroit que Juliette, et vit une créature dont elle avait souvent entendut parler, mais qu'elle n'avait jamlais eu la "chance" de voir. Suivant la tactique énonçait par Juliette, Madhavi se concentra le plus qu'elle put sur l'accromentule, et arrivée à "3", elle se remit debout, et s'écriat de toute la force de sa voix:

- PETRIFICUS TOTALUS!!!!!!!!!

Un énorme filet jaune sable jaillit de sa baguette, et allat percuter de plein fouet l'accromentule, qui s'apprétait à déchiqueter une magnifique licorne, dont les reflets argentés était encore plsu mis en valeur par du sang, rouge écarlate, qui coulait sur l'ensemble de son corps. Couplé au puissant sort de Juliette, l'accromentule se raidit, petit à petit, puis se bloquat à un moment. Le sort ne l'avait pas complètement statuifier, et d'ailleurs qui aurait put réussir cet exploit, mais la vitesse de l'accromentule était maintenant comparable à celle d'un escargot au meilleur de sa forme.
Madhavi regardat Juliette dans les yeux, encore frissonante de son premier combat à Poudlard.

- Et maintenant, qu'est-ce-qu'on fait?

N'attendant pas de réponse, elle s'avançat jusqu'à l'endroit ou Juliette avait laisser choir ses affaires pour la capture de la licorne, et s'emparat d'une gerbe d'une plante inconnue par elle, mais d'une magnifique couleur.A partir de là, elle avançat encore deu deux ou trois mètres vers la licorne, s'accroupit, et tendit la gerbe vers la licorne, attendant sa réaction.

Juliette avait regardé les deux trajets jaunes ocre se rejoindre et frapper l'accromentule ... cele-ci avait été déséquilibrée, puis avait commencé à marcher comme ... au ralenti ! Juliette savait que leur sorts ne pouvait petrifier totalement cette géante mais le résultat était satisfaisant car l'araignée ne se préocupait plus de la licorne mais uniquement de comprendre la raison qui l'empêchait de marcher normalement ... Madhavi prit les plantes du sac de Juliette et les amena vers la licorne ensanglantée ... La gryffondor songea que c'était un excellent reflex ... Elle resta cependant derriere ces buissons quelques instants ... il était dangereux de rester aux côtés de cette araignée géanté ... même au ralenti, elle pouvait les écraser ! Il fallait trouver quelconque sortilege ou autres techniques qui la fasse fuir .... elle réflechit et choisis plusieurs sortilèges qu'elle enchainerait afin d'éffrayer l'araignée, et de la deboussolée ... elle rejoint Madhavi ... la licorne ne bougeait pas et Juliette savait déjà qu'elle avait rendu son dernier soufle .... mais elle espèrait povuoir soigner la jeune licorne, qui était encore vivante !

Madhavi, retourne derrière les buissons ... je vais essayer de faire fuir cette araignée ! lui dit-elle ... en effet, il ne fallait pas qu'il arrive quoi que se soit à la Poufsoufle, car Juliette en était responsable ! Elle attendit que la jeune fille s'éloigne et se retourna vers l'araignée qui regradait ses pieds, l'air incrédule à quelques mètres plus loin.

REDUCTOOO !!! cria-t-elle en la visant de sa baguette.

L'araignée retrecit et elle atteignait à présent la taille de Juliette ... mais malheureusement, ce sort annula l'effet du sortilege de saucisson et l'araignée reprit une mobilité normale ... mais ceci eu plutot un effet positif, car en plus de ne pas comprendre le fait de marcher normalement, elle fut totalement deboussolée de se voir à présent si près du sol, et à peine avait-elle reprit ses esprits que Juliette s'écria :

Incarcerem

Des cordes s'enroulèrent autour de l'animal qui jetta des regards affolés en tout sens ... puis Juliette utilisa le sortilege "aguamenti" à une très forte puissance et l'araignée se retourva trempée ! Par chance, elle ne devait pas aimer l'eau car elle poussa des gronements dechirant ... Juliette defit les cordes et vit avec bonheur que la bestiole s'enfuiyait dans les profondeurs de la forêt ! Elle transpirait, avait la respiration haletante et frissonait encore de ce combat ... Elle fit signe à Madhavi de revenir,avec les plantes.

Pfiou .... je ne recommencerai pas ça deux fois ! Du moins pas aujourd'hui ! dit-elle en riant doucement ....

Elle prit les plantes et les posa, comme l'avait fait la poufsoufle, devant la licorne adulte, allongée par terre, les yeux clos ... Juliette la caressa doucement, en vitant soigneusement de toucher les plais, mais l'animal ne fremit meme pas ... elle mit ses mains devant sa bouche, son nez, mais aucun soufle d'air n'en sortait ... Juliette regarda avec tristesse Madhavi ...

C'est fini pour elle ... elle a du faire un atroce combat ... probablement pour proteger son enfant !

Insticntivement, Juliette tourna la tête vers la jeune licorne ... Elle la rejoitn avec les plantes et s'agenouilla auprès d'elle ... elle la caressa doucement, comme elle l'avait fait avec sa mère, et vit les yeux de la licorne, se fermer, puis s'ouvrir ... elle devait être epuisée ... Elle l'aida à avaler les plantes et dit à Madhavi :

Je ne peux pas la soigner ici ... est-ce que tu peux faire leviter la cage jusqu'ici silteplait .... je vais la ramener à mon magasin ... il serait plus sage que tu retournes à ton dortoir, Madhavi ...

Poufsouffle Nombre de messages : 92 Date d'inscription : 02/03/2006

Madhavi s'était donc avancée avec les plantes vers les deux licornes, maais Juliette dut juger cette initiative assez peu prudente, car elle lui conseillat bien vite d'aller se re-cacher derrière les buissons. Madhavi obéit sans demander d'expliquations supplémentaires, bien qu'elle ne voyait pas de réel danger, vu l'état de l'araignée. de derrière son buisson, elle observat la fin du combat entre l'araignée et Juliette. Combat qui n'en était d'ailleurs plus réellement un, vu l'état et la réactivité de l'accromentule. Mais Juliette, elle, réagissait très bien, et, en bonne prof et directrice adjointe qu'elle était, faisait preuve d'un fort pragmatisme dans ce combat, trouvant rapidement les sorts qui feraient fuire ce monstre.
L'accromentule fut ainsi réduite, puis attachée de façon vive et brutale par des lianes, avant de finir trempée par une vague sortie de la baguette de Juliette. L'araignée comprenait de moins en moins ce qui lui arrivait, et une fois cet enchainement finit, partit le plus vite possible sans demander son reste.
Le danger partit, Madhavi sortit de derrière son buisson en applaudissant Juliette.

- * clap clap clap * Bravo Juliette, ça s'était du combat! Plein d'action comme je les aime, tu es vraiment ujne prof et une sous-directrice digne de ce nom!!!

Pendant ce temps, la Gryffondor s'était rapprochée de la licorne adulte, et après l'avoir conscensieusement observée, donna son verdict avec tristesse: cette licorne était morte en combattant l'accromentule! Elles se tournèrent donc automatiquement vers la plus jeune licorne, et se dépéchèrent de lui administrer les premiers soins, à base des plantes qu'elles avaient ammenés, pour la revigorer.
Madhavi, à la demande de Juliette, fit léviter la cage jusqu'à elles, puis elle mirent le plus délicatement qu'elles pouvaient la licorne orpheline dedans. Une fois la cage refermée, Juliette la congédia amicalement. Madhavi regardat sa montre.

- Oui, il se fait tard, il est 20h30, j'ai donc déjà une demi-heure de retard sur le couvre feu ... En tout cas, j'ai passé une plutôt bonne soirée avec vous ... même si quelques problèmes sont survvenus ... Par contre, pourriez-vous me faire un mot, histoire de m'éviter des ennuis au cas ou je crois Mr Rusard dans les couloirs? ça m'embêterai d'avoir déjà des problèmes alors que je viens juste d'arriver ...

Juliette rougie aux aplaudissements de la jeune fille ! Elle ne s'y attendait pas mais il était vrai qu'elle était plutot fière de son combat ... Elle remirent donc en silence la jeune licorne dans la cage, puis elle la ferma delicatement et sortit de sa poche une clé pour verouiller la porte. La bete ne devait probablement pas comprendre ce qui lui arrivait mais, étrangement, son regard ne trahissait aucune inquétude ... peut etre la fatigue l'empechait de s'affoler ?!

Il n'y a pas de soucis pour le mot, cependant, je préfère t'accompagner jusqu'à la lisière de la foret .... je crains que tu ne puisses trouver la sortie seule.

Elle sortit a nouveau quelque chose de son sac, une petite boule verte, et elle la placa dans la bouche de la licorne, passant son bras fin à travers les barreaux.

C'est pour l'endormir ... et que je puisses la faire leviter dans la cage sans qu'elle s'en rende compte !

Une minute passa et les yeux de la licorne se clorent .... elle marchèrent en sens inverse, Juliette utilisant parfois sa boussole pour se reperer ... instrument entierement moldu auquel elle faisait une confiance aveugle, dailleurs souvent reprochée par ses proches ... Enfin, elle virent les lumières du chateau au travers des quelques arbres qui les separaient du parc et Juliette sortit une plume legerement tordue etun parchemin abimé de son sac ... elle grifonna quelques mots et le tendit à Madhavi, rangeant la plume.

Veuillez excuser le retard de Mlle Sedna, elle a eu la gentillesse de m'accompagner à la foret interdite pour quelque chose que j'avais à faire. J'en assume l'entière responsabilité.

Amicalement,
Professeur McGregor.

Elle se tapota de la baguette tendit que la jeune fille le lisait et marmonna quelques mots puis souria et dit :

Il se detruira automatiquement demain matin .... afin que tu ne l'utilise pas, ou tes amis, pour te rendre à la foret sans permission. Bonne nuit !

Elle lui lança un clin d'oeil et repartit dans l'autre sens, faisant de nouveau leviter la cage après l'avoir poser pour ensorceler le mot .... Une longue nuit l'attendait .... mais qu'est-ce qu'elle ne ferait pas pour sauver des animaux ?

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