Mahano qui comme tout les soirs lisait tranquillement son roman d'origine moldu eut soudainement un petit creux. Son estomac commença à faire d'ignobles gargouillis, elle avala un grand verre d'eau pour essayer de calmer ses incessants bruitages d'estomacs, mais rien à faire, le bruit persistait. Elle décida donc qu'une fois qu'elle aurait fini le chapitre quatorze de son roman elle irait manger un petit quelque chose à la grande salle, ou bien qu'elle irait demander un petit encas aux elfes. Bien qu'elle déteste les voir travailler comme des malades, il fallait bien qu'on leur demande à manger, car si ils ne travaillaient pas, ils seraient sûrement renvoyés du château. Mais de toute façons, ça, ça ne risquait pas d'arriver vu qu'il y avait toujours quelque chose à faire dans cet immense bâtiment. toujours un coin poussiéreux à nettoyer, ou bien des objets qui traîneraient à ranger. Enfin bref, ce n'était pas le travail qui manquait. Après avoir fait un peux de philosophie, elle se replongea dans son roman. Celui-ci était passionnent. Bien que ce soit un livre moldu, cela ne changeait rien à l'histoire, elle était magnifique. C'était un grand classique Français écrit par un écrivain nommé Molière dont elle avait vaguement entendu parler. Le livre se nommait "Cyrano de Bergerac" une histoire un peux démodée mais très intéressante et assez accrochante. C'était l'histoire d'un moldu au grand nez dont tout le monde ce moquait. Cet homme là était amoureux d'une jeune femme qui le considérait comme un amis et qui finalement lui avouait son amour pour un jeune homme qui justement connaissait le premier homme. Il lui jura de le protéger et finalement il décida d'écrire les paroles que le jeune homme prononcerait en présence de la jeune fille car celui-ci avait un très pauvre vocabulaire et avait peur de ne pas pouvoir combler la demoiselle. Elle s'en était arrêté là et avait hâte de connaître la suite, mais ça serait sûrement pour plus tard car là, elle ne pouvait plus attendre, il fallait qu'elle aille manger quelque chose ! elle pausa donc le livre sur la petite table de chevet qui se trouvait à côté de son lit à baldaquin. Elle sortit du dortoir pour arriver dans la salle commune puis en sortit et se retrouva dans un couloir. Tout en marchant assez hâtivement, elle essayait de s'imaginer la suite du roman. Elle aperçut alors deux jeunes filles qui discutaient au bout du couloir. L'une était trempée et l'autre c'était Eleanor, leur directrice. Elle s'approcha alors des deux élèves en souriant et s'arrêta
- Bonjour, que faites vous ici à une heure pareille ?